L’hiver finissant recèle des beautés particulières. Entre les rigueurs d’une saison froide et la douceur naissante du printemps prochain, voici un instant dont j’ai décidé de profiter.

– blasée mais sympa –
– blasée mais sympa –
L’hiver finissant recèle des beautés particulières. Entre les rigueurs d’une saison froide et la douceur naissante du printemps prochain, voici un instant dont j’ai décidé de profiter.
Le mois de Ramadan approche à grands pas : c’est l’occasion de s’insérer en douceur dans certaines pratiques qui permettront d’accueillir le mois comme il se doit.
Contrairement à ce qu’on pense, elles ont beaucoup de choses derrière la tête.
Dans le cadre de mes études, j’ai souvent eu affaire à Jane Austen, mais aujourd’hui, les liens avec l’actualité sont plus évidents.
Si les grands frères bien m’expliquer pourquoi ils sont contrariants, je suis preneuse. Mais je pense avoir ma petite idée.
Si l’on peut parler de vocation dans le choix de porter des tenues légiférées, force est de constater que derrière le regard élogieux se cachent parfois des intentions en complet décalage.
Au moment où ces lignes sont écrites, un certain nombre de mariages ont été annoncés, d’autres célébrés – on ne saurait faire le compte exact du nombre des évènements de cette nature qui ont parsemé les agendas.
Les femmes qui se portent le hijab, trop passives, trop austères, pas assez en phase avec leur environnement ? Figures exemplaires qui ne doivent pas faillir ?
Il ne paraît pas inapproprié de dire que porter le hijab signifie entamer une transition, …
Il existe de fâcheux tête-à-tête, de ceux qu’on voudrait éviter à tout prix. J’ai toujours …